Nick_Holme’s Paradise Lost
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Brèves
David Gemmell
samedi 29 juillet

Mauvaise nouvelle pour les fans de fantasy, David Gemmell est mort hier, le 28 juillet, suite à son double pontage corronarien. Un grand conteur est mort ; nous nous souviendrons surtout de Légende, Druss et de toutes ses séries qui nous ont enchanté.

NicK

 
Frank Herbert - Les Hérétiques de Dune
lundi 17 janvier 2005
par Nick_Holmes
popularité : 1%
Suite de la saga de Dune, ce tome se situe après "L’Empereur-Dieu de Dune". Il introduit de nouvelles factions et des nouveaux personnages dans un monde qui a beaucoup évolué. Ce roman, avec "La maison des Mères", forme la dernière partie du cycle et réserve donc quelques surprises au lecteur.

Synopsis :

Leto II, le Tyran, l’Empereur-Dieu, est mort depuis des milliers d’années, mais son souvenir est dans toutes les mémoires. Sa disparition a entraîné un tourbillon de violences, la Grande Famine, la Dispersion de l’humanité à travers les univers. Pourtant ces désordres ont assuré la survie de l’humanité conformément aux plans du Tyran, et ses Prêtres en tirent argument pour justifier leurs ambitions.

Mais la Révérende Mère Taraza sait bien que le pouvoir vient de l’Épice, source de la prescience. La planète Dune, devenue Rakis, restera-t-elle le centre de toutes les intrigues alors que le Bene Tleilax a appris à produire l’épice sans le secours des vers géants ? Les forces qui se mesurent dans l’ombre sont à l’affût du moindre signe.

Or les signes se produisent là où nul ne les attendait. Sur Rakis, une jeune fille, presque une enfant, semble pouvoir commander aux vers géants. Sur tout le pourtour de l’Empire, les Égarés de Li Grande Dispersion commencent à revenir. Que cherchent-ils ? Que fuient-ils ? (Quatrième de couverture)

Critique :

Avant-dernier tome du cycle original (inachevé) de Dune, celui-ci se démarque des précédents par la période décrite, bien après la mort de Leto II (d’où un trou dans le récit) et par son contenu bien plus philosophico-religio-fumiste. Bien plus ardu à comprendre que les précédents, il nécessite une bonne connaissance des tomes antérieurs pour apercevoir toute la profondeur des intrigues et les répercussions des actes des protagonistes. Il y a donc beaucoup moins d’action que précedement. Autant j’aime les tomes précédents, autant celui-ci me laisse perplexe... Trop de réflexion tue le récit et il manque singulièrement de rythme à mon gout. Bien sur, il reste la question essentielle, le Bene Gesserit arrivera t’il à survivre mais cela ne porte pas ce roman au niveau des précédents. Reste à voir si le prochain tome concluant la saga arrivera à finir en beauté cette magnifique fresque rakienne.

Nick